Table des figures

Figure 1.1 : La division harmonique de l'octave selon Zarlino. L'octave est d'abord divisée en une quinte surmontée d'une quarte, puis la quinte en une tierce majeure surmontée d'une tierce mineure, et enfin la tierce majeure en un ton majeur surmonté d' un ton mineur. Les intervalles obtenus sont ensuite disposées de manière à obtenir une séquence qui coïncide avec celle de la gamme de Helmholtz. Une telle division théorique ne peut en aucun cas être considérée comme une gamme : elle ne saurait, dans l'esprit de Zarlino, remplir la fonction diatonique que remplit la gamme dans la théorie moderne.

Figure 1.2 : Le début du God save the King.

Figure 2.1 : Le tétracorde diatonique de l'espèce diatono.

Figure 2.2 : Le tétracorde diatonique de l'espèce sintono.

Figure 2.3 : Le monocorde diatonique de l'espèce diatono selon Zarlino.

Figure 2.4 : Schéma du monocorde diatonique de l'espèce diatono.

Figure 2.5 : Les tétracordes des disjointes et des conjointes du monocorde diatonique de l'espèce sintono, selon Zarlino.

Figure 2.6 : Les tétracordes des disjointes et des conjointes du monocorde diatonique de l'espèce sintono.

Figure 2.7 : L'hexacorde de l'espèce diatono.

Figure 2.8 : La main guidonienne classique, calculée selon les proportions de l'espèce diatono.

Figure 2.9 : La main guidonienne comme extension du grand système des Grecs.

Figure 2.10 : Organisation possible d'un hexacorde syntonique.

Figure 2.11 : Une main formée d'hexacordes syntoniques.

Figure 3.1 : Le cristal syntonique. En gris, la main syntonique dont il est l'extension.

Figure 3.2 : L'hexacorde pythagoricien dans le labyrinthe de Barbour.

Figure 3.3 : L'hexacorde syntonique dans le labyrinthe de Barbour.

Figure 3.4 : Le systema massimo syntonique et les hexacordes de la main.

Figure 3.5 : Un squelette de cadence.

Figure 3.6 : Tétracorde farci, selon Zarlino.

Figure 4.1 : Palestrina, Crux fidelis.

Figure 4.2 : La même pièce, avec corrections syntoniques.

Figure 4.3 : Roland de Lassus, extrait de Bonjour mon coeur.

Figure 4.4 : La même pièce, avec corrections syntoniques.

Figure 4.5 : Un fragment du motet Ave Maria de Josquin, avec les altérations éditoriales de Wibberley.

Figure 4.6 : La solution de Walker (version Wibberley).

Figure 4.7 : La version Bent.

Figure 4.8 : Première solution de Walker (version Bent).

Figure 4.9 : Seconde solution de Walker (version Bent).

Figure 4.10 : Alignement sur le cristal syntonique (version Bent).

 

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